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Lumières d’exil de Christian Faure

« 25 août 1930. J’occupe ces mois d’été à aider mes amis communistes dans leur lutte contre le fascisme qui pointe son nez ici aussi. Les adeptes des idées nationalistes se renforcent au fur et à mesure que le pays est touché par la crise boursière américaine qui est devenue une crise financière généralisée.

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Et si nous commencions par ne plus avoir peur ?

Je vais être honnête avec toi. Je n’avais pas franchement envie d’écrire. Mais un sursaut de motivation s’est emparée de moi. J’ai alors allumé ma playlist feel good, et j’ai pris mon ordinateur pour taper ces quelques mots, tels qu’ils me viennent. Je crois beaucoup en l’énergie, je crois beaucoup aux vibrations. Si nous sommes tous blasés, il n’y aura personne pour remonter notre niveau de vibrations.

Je crois beaucoup à la responsabilité de chacun d’entre nous pour créer ce monde nouveau dont on rêve tous. Un monde égalitaire, un monde où nous serions tous, libres et heureux, loin de la prison que d’aucuns nous souhaitent. Loin des enjeux lobbyistes. Je suis persuadée qu’il est à notre portée. Et je sais qu’il commence par nos pensées, par notre état d’être.

Et si nous commencions par ne plus avoir peur ? Et si nous commencions par croire en de meilleurs lendemains ? Et si le plus dur était déjà derrière nous ? Et si chacun, à notre niveau, pouvait contribuer à un sursaut planétaire ? Et si ce climat anxiogène, et si les transits planétaires nous invitaient à une seule chose : revenir à nous-même, être heureux ici et maintenant ?

Sana,

Tous droits réservés.

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Karma Sutra, by Steve

Quand j’ai commandé Karma Sutra, je l’ai chuchoté au vendeur, qui d’ailleurs, a compris autre chose. Le client derrière moi a même souri en me regardant. Le rouge m’est monté aux joues et j’ai dit :

« Steve est au-delà de ses considérations, voyons. Je vous parle de KaRma Sutra, moi. Le best-seller. Vous savez le livre en rupture dans tous les stores ».

« Ahhh ouiiii. Autant pour moi mademoiselle », répond-il.

C’est simple : je l’ai lu en trois jours. Je sais la qualité, l’humilité, et l’authenticité qui caractérisent Steve. Ne soyez pas effrayé par son côté « cash » : au contraire, il appuie là où cela fait mal. Peut-être son héritage d’ancien commando. Il dit lui-même qu’il ne s’inscrit pas dans la tendance « tchoupi » du développement personnel. Ses formations sont d’une valeur inestimable. Son parcours de vie est atypique, inspirant. Son point de référence : l’excellence. Animé par le dépassement de soi, la soif d’apprentissage, et bien d’autres paradigmes, il a tout des vrais grands de ce monde.

L’auteur définit le karma comme « le KPMG de l’univers. Il fait un audit de chacune de tes actions et sort un rapport annuel. Pour faire simple, chaque action est le résultat d’une cause qui trouvera sa conséquence dans le futur. L’effet papillon, l’effet cumulé, le résultat de votre pratique délibérée, vos pensées, vos émotions et vos actions constituent un tout et créent une signature énergétique dans le champ quantique : chaque acte est un bulletin de vote pour devenir la meilleure ou la pire version de vous-même. Montrez-moi ce que vous faites chaque jour et je vous dirai pour qui vous votez ».

Evoquant le vide abyssal que certaines personnes tentent de remplir, Steve parle de ce qu’il appelle la narcotisation.

« Elle consiste à remplir le vide abyssal de leur vie par des activités au mieux futiles, au pire parfaitement inutiles à leur progression et à celle du monde. Pour la plupart des gens, cela prend la forme de comportements ritualisés : passer ses soirées devant Netflix à regarder Game of Thrones, par exemple (en moyenne, les Français restent 3h42 par jour devant la télé), ou passer des heures à parler d’une idée ou d’un projet sans jamais les concrétiser. On se vide ainsi progressivement de son énergie et on n’en a plus une goutte à investir dans la mise en oeuvre d’un vrai projet de vie. On ne réfléchit plus et on se laisse porter par un quotidien qui nous pèse. En bref, toutes ces activités nous évitent de se retrouver seul face à soi-même et aux questions existentielles qui nous traversent tous : est-ce que je fais vraiment ce pour quoi je suis fait ou est-ce que je passe complètement à côté de ma vie ? ».

Steve n’est pas le prototype de l’entrepreneur en soif de Lamborghini, il n’a d’ailleurs pas le permis, et roule en scooter dans les dédales des ruelles tangéroises.  Il n’est pas du genre à vendre des formations bas de gamme. Il dit souvent qu’il s’est fixé comme règle de délivrer 10 fois la valeur de ses contenus de formation.

En fait, Steve, c’est un tout. Des valeurs, un parcours, qui respirent la résilience. Il a décidé de vivre sa vie selon ses propres standards. Et son livre est à son image : profond, authentique, déroutant. Il y détaille des anecdotes riches de sens. Steve fêle son armure pour nous offrir le nectar de ses leçons de vie. Il signe ici un best-seller à des années lumières des livres sans âme : doux, plats, superficiels. Une de ces lectures dont on ne sort pas indemne.

J’ai vraiment apprécié Karma Sutra. Un véritable wake up call comme disent les anglophones. Un livre à mettre entre toutes les mains : car il n’est jamais trop tard pour devenir ce que nous sommes.

Sana,

Tous droits réservés.

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La peur…

On dit qu’avant d’entrer dans la mer,

Une rivière tremble de peur.

Elle regarde en arrière le chemin,

Qu’elle a parcouru, depuis les sommets des montagnes.

La longue route sinueuse qui traverse des forêts et des villages,

et voit devant elle un océan.

Si vaste qu’y pénétrer ne paraît rien d’autre,

Que de voir disparaître à jamais.

Mais il n’y a pas d’autre moyen.

La rivière ne peut pas revenir en arrière.

Personne ne peut revenir en arrière.

Revenir en arrière est impossible dans l’existence.

La rivière a besoin de prendre le risque et d’entrer dans l’océan.

Ce n’est qu’en entrant dans l’océan que la peur disparaîtra.

Parce que c’est alors seulement.

Que la rivière saura qu’il ne s’agit pas de disparaître dans l’océan,

Mais de devenir océan.

Khalil Gibran

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Priver le monde de ta lumière..

On rencontre souvent la vérité dans les chemins que l’on emprunte pour l’éviter. C’est alors qu’on se retrouve face à l’évidence qu’on ne peut nier. Elle brille plus que le soleil. Il nous est impossible de la masquer, de feindre ne l’avoir pas vu.

Halte ! Il est temps de regarder la réalité en face. Les montagnes d’excuses derrière lesquelles nous nous réfugions parfois sont réduites à néant. Lève-toi et marche. Le manteau de laine dans lequel nous emmitouflons nos espoirs et nos rêves n’est qu’un miroir aux alouettes.

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A cette partie de toi …

Quel âge as-tu ? 30, 40, 50, 60, 70 ans ? Combien de temps te reste t-il à vivre ? En moyenne, l’être humain vit 80 ans, soit 30 000 jours (29 200 précisément). Que comptes-tu faire de ce capital ?

Nous passons nos journées à travailler, et nos soirées à rêver d’une autre vie. Pourquoi ne pas faire de nos rêves une vie ? De notre vie, un rêve ? Lire la suite

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Les signes que tu es un être de lumière

Si toi aussi, tu es toujours celle ou celui qui distille les bons conseils, qui fait monter le niveau vibratoire du groupe, qui fait rire l’assemblée.

Si toi aussi, tu essaies d’utiliser tes dons pour répandre de bonnes vibrations à travers ce grand amour que tu as pour la liberté, la connaissance de soi, et du monde, ton prochain.

Si toi aussi, partout où tu es : tu répands la sagesse, le fun. Si toi aussi, partout où tu passes, tu laisses un excellent souvenir, même sans le vouloir. Lire la suite

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Ce que nous craignons le plus

Des années de lectures, d’expérimentations, d’analyse, de développement personnel, m’ont amenées à adhérer au constat de Ralph Waldo Emerson, à savoir :

« Ce que nous craignons le plus, c’est généralement de faire ce que nous devons faire ».

Dans le fond, chacun d’entre nous connait ses forces, ses faiblesses. Nous savons parfaitement ce qui est bon pour nous, et ce qui nous est néfaste. Lire la suite

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Il y a un temps pour fleurir..

Il y a des fois où, sans efforts aucuns, nous matérialisons les plus belles choses. Il y’en a d’autres où l’acharnement, la détermination, s’avèrent vaines.

Il y a ces fois où la stratégie, la planification, l’analyse nous paralysent. Et il y a ces autres moments, où en un éclair de lucidité, nous mettons le doigt sur le détail qui fait basculer la balance en notre faveur. Lire la suite

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Le premier souffle de ce que nous sommes

Dans la graine, il y a l’arbre en potentiel. Et s’il y avait déjà tout en nous ? Et s’il n’y avait rien à comprendre, rien à analyser mais tout à expérimenter ? Et si la recherche du sensationnel était un leurre ? Et si finalement il n’y avait rien à chercher, rien à trouver ? Et si les crises de sens étaient précisément un moment où notre âme chercherait à nous faire grandir ? Et si la joie était l’expression de notre nature profonde ?

Et si quoiqu’il nous arrive, nous n’avions rien à prouver ? Et si à chaque fois que nous ressentions une résistance à poursuivre, il nous fallait voir en cela le signe que ne suivons pas notre voie supérieure ?

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L’amour selon Khalil Gibran – Extrait Le Prophète

Bonjour,

Un livre que j’ai abordé en toute liberté. J’en avais tellement entendu parler, et ce, il y a des années de cela.

Je me suis délectée de la noblesse et la finesse de ses paroles. Tout y est abordé : la joie, le travail, la liberté, la passion, les adieux..

Je me suis régalée.

Voici un extrait :

« Quand l’amour vous fait signe de le suivre, suivez-le,
Bien que ses chemins soient rudes et escarpés.
Et lorsqu’il vous étreint de ses ailes, abandonnez-vous,
Bien que l’épée cachée dans ses pennes puisse vous blesser.
Et quand il parle, croyez en lui.
Bien que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord dévaste le jardin.
Car de même que l’amour vous couronne, il vous crucifiera.

De même que vous lui devez de croitre, vous lui devez d’être élagué […] ».

 

tof khalil

« L’amour ne donne rien que lui-même et il ne prend rien que de lui-même.
L’amour ne possède ni ne peut être possédé ;
Car l’amour suffit à l’amour ».

« Et ne pensez pas que vous pourrez diriger le cours de l’amour car l’amour, s’il vous en trouve digne, dirigera votre cours.
L’amour n’a pour seul désir que de s’accomplir ».

« Une langue limpide, des images évocatrices et fortes : à travers l’enseignement d’Al-Mustafa se dessinent quelques-uns des trésors de l’expérience humaine. Rien n’échappe à la leçon du sage, amour, joie, liberté, douleur, connaissance de soi, beauté, couple, passion… La vie la plus intime comme les problèmes les plus quotidiens. Hymne à la vie et à l’épanouissement de soi, le Prophète s’impose désormais comme l’un des textes cultes du XXe siècle ».

A bientôt,

Ce livre est disponible : ICI

Sana,

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Peu importe le « Comment »

Nina dessine majestueusement bien. Je l’ai rencontrée à une expo il y a quelques mois. Elle peint comme un maitre. Des paysages, du portrait, des animaux. A côté, mes créations abstraites relèveraient du coloriage de grande section. Nina garde toujours précieusement ses créations dans son grand carton à dessins vert. Elle l’emmène partout. Et dès que quelqu’un lui demande de voir ses créations, son regard s’illumine. Elle les montre fièrement, détaille ses sources d’inspiration, puis referme les sangles de son carton avec soupir : car, elle pense qu’elle ne pourra jamais vraiment exposer, ni vivre de son art.

Il y a quelques jours, on s’est croisé en ville. Elle avait son carton à dessins, elle m’a montré ses dernières créations. Rebelote. Elle soupire. Le désespoir la gagne au point d’envisager, me dit-elle un retour à Moscou car elle se sent loin des siens, et sa passion «ne prend pas ici».

CLA32800.jpg« Je ne sais pas comment je dois m’y prendre Sana, tu sais j’aimerais bien y arriver mais je ne sais pas comment », me dit-elle.
« Est-ce que le « comment » est vraiment important ? », je sens que ma question la perturbe.
« Bien sûr que oui», me dit-elle. Elle ajoute : « dans tout projet, il y a la phase stratégique de définition des enjeux, des moyens, du «comment».

Je lui demande alors :
« Est-ce que tu veux vraiment exposer ? ».
Je lui pose cette question car moi-même, j’ai un rêve enfoui : celui d’exposer certaines de mes toiles mais l’heure n’a pas encore sonnée car fondamentalement, je n’ai pas un désir ardent (pour le moment) de le faire.

« Bien sûr, c’est mon rêve ultime Sana ». Son regard se perd au loin.
« Nina, loues une galerie », lui dis-je alors.
Elle me regarde, interloquée :
« Je ne connais personne ».
Je surenchéris :
« Loues un Airbnb alors. Achètes des chips, des jus de fruits, du champagne, des cacahuètes, crées ton event sur les réseaux et fonces ».

Son visage s’illumine, Nina se mets à rire puis me demande :
« Des caca-wouétes ? ». Elle demande à Google de lui trouver l’objet du désir.

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Puis, elle ajoute en riant aux éclats :
« « Da », c’est comme les pistaches ».
« Absolument, ce sont un peu les cousines des pistaches, mais sans la coque ».
Elle me remercie chaleureusement, et repart tout sourire.

J’accélère le pas, en repensant à cette question du « comment ». Je suis sûre que si nous nous torturions moins l’esprit avec cette question, nos projets prendraient une autre allure.
Et si nous jetions nos dés en étant convaincus que notre mise s’avérera gagnante ? Et si le secret résidait dans le « je vais le faire un point c’est tout » ? Et si nous nous dispensions du plan B ?

L’histoire ne s’arrête pas là. Figures toi que dix jours plus tard, je reçois un MMS d’invitation :
« Chère amie,
Tu es conviée à ma première exposition au 2 rue des Créations, près du château. N’hésites pas à en parler autour de toi. Nina ».

J’ai relu deux fois le message. Je l’ai transféré. Le bouche à oreille, et la magie de la vie ont fait le reste. 23 personnes conviées. 44 présentes.

J’ai repensé au marathon de Londres, course pédestre d’un peu plus de 42 km qui emprunte les rues de Londres, et qui se tient chaque année en avril. Je l’ai inscrit en début d’année sur ma liste de rêves (mais sans conviction, je dois bien l’avouer).
Quand j’en ai parlé à ma sœur, elle m’a dit :
« Sana, t’as le physique pour, ok. Mais tu ne cours que rarement, voire jamais. Tu comptes y aller la fleur au fusil ? Tu sais ce que c’est 42 km ? ».
Le « comment » avait ainsi refait surface. Je suis passée à autre chose. Mais c’était sans compter un clin d’œil du destin.

Figures toi que je tombe, le jour de la fête des travailleurs, sur un cliché de Mathieu (sur les réseaux sociaux), à Greenwich, sur la ligne de départ, dossard sur le dos.
Mathieu est un ami du lycée. Si je devais le caractériser, je dirais que c’est un peu « le mec qui n’a peur de rien ».

Quand je lui ai demandé comment il a fait pour se trouver sur la ligne de départ à Londres alors que je le sais « peu sportif », et que c’est un peu la croix et la bannière pour les inscriptions. Il m’a répondu :

« J’avais besoin de barrer ce challenge de ma liste. Je me suis inscrit. Je me suis entrainé deux mois avant et voilà. Je n’ai pas fait un super temps mais mon objectif était de participer et de finir la course. C’est chose faite ».

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J’ai surenchéri avec d’autres questions :
« Du coup t’as passé le tirage au sort en tant qu’oversea (étranger), et tout ? ».
« Ouais. Premier arrivé, premier servi : je me suis inscrit en mai dés la première heure de l’ouverture des inscriptions, tellement j’étais motivé. En octobre, j’ai reçu une réponse positive. Et en mars, j’ai reçu par mail le registration form pour le dossard. En fait, je me suis même pas posé la question du « comment ». J’ai décidé d’y participer, c’est tout Sana ». Il m’a répondu avec calme et détachement.

Du coup, on a échangé sur cette question du « comment », et il m’a raconté une anecdote sur l’un de ses meilleurs amis qui vit dans le sud-est et dont la femme rêve d’une piscine dans leur jardin.

« Sana, tu sais ce qu’il a fait ? Cela faisait un moment que sa femme le bassinait avec la piscine. Du coup, il y a 15 jours, il a loué des engins, et il a commencé à creuser un immense trou dans le jardin », poursuit Mathieu.

« Vraiment ? Il a commencé à creuser comme ça, je veux dire sans plan ? Ils ont éludé la question du budget, de l’implantation ? Pas de devis ? Mais c’est du terrassement, il n’a pas fait appel à un pro ?», surenchéris-je.

« Et non Sana, là t’es clairement dans le « comment ». Il a foncé c’est tout. Peut-être que la prochaine étape, il va la déléguer mais là, il ne voyait pas l’intérêt de confier cette tâche. Sa femme lui a même dit que c’est un grand malade de mettre la charrue avant les bœufs. Elle a peur qu’il n’aille pas jusqu’au bout et qu’ils se retrouvent avec un trou béant dans le jardin d’autant qu’ils n’ont pas tout à fait le budget. Mais je le connais, il ira jusqu’au bout, quitte à faire un emprunt, et demander conseil à des pros ».

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Waouh. Le faire, un point c’est tout. J’étais scotchée.

Je sais ce que tu vas me dire. Tous les profils de personnalité ne peuvent pas se lancer tête baissée dans un projet sans un cadre préétabli. Ce n’est sûrement pas adapté à toutes les situations de la vie.

Je dis juste que souvent la question des moyens, de la stratégie (« du comment ») nous inhibe , ou nous fait procrastiner. Je dis juste que souvent, c’est en chemin que se dessinent les solutions. C’est en se lançant qu’on peut rencontrer les bonnes personnes, échanger, rectifier, apprendre..

En somme, passez à l’action est souvent la seule chose dont on ait besoin.

Sana,

Tous droits réservés.

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My Sunday evening mood

Tout se met en place. Je sens que tout se concrétise. Même si l’heure est au labeur, je suis convaincue, certaine, persuadée que la réussite est au bout du tunnel. Il est vrai que nous sommes dans une société où l’immédiateté prévaut, mais les grandes réalisations nécessitent du temps, et un désir ardent. Rome ne s’est pas faite en un jour. Lire la suite

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Chronique 17 : « Yoga des yeux, yoga de l’âme », aux éditions Dangles

Si on m’avait dit, il y a quelques années que ma myopie était étroitement liée à ma manière d’être, j’aurais probablement regardé mon interlocuteur d’un air éberlué. Mais fort de mes lectures, fort de ma compréhension que tout, dans notre corps et dans notre esprit, fonctionne de concert, il m’est aujourd’hui impossible de ne pas reconnaitre que si je ne vois pas très bien de loin, c’est que le stress stocké dans les muscles qui entourent mon globe oculaire les maintient dans une position qui l’empêche d’ajuster la vue. Lire la suite

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4 questions que j’ai cessé de me poser

Je vois, je ressens beaucoup de choses. J’avais l’impression parfois d’être dans une verrière et de n’être qu’une spectatrice de toutes les interactions que je vivais. J’ai toujours été tournée vers mon monde intérieur. Analyser, scruter, réfléchir, penser : en somme, toutes les actions qui impliquent le cerveau (On est foutu, on pense trop).

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Les 10 joies du blogging

Bonjour,
J’ai envie aujourd’hui d’évoquer les joies que me procure mon blog. Elles sont nombreuses mais j’ai choisi d’évoquer les 10 principales jouissances, exultations que je ressens en bloguant.
1. Le sentiment d’appartenance
Quand j’ai commencé à partager ma plume sur ce blog, je ne savais pas que quelques mois plus tard, j’allais me sentir appartenir à une communauté : celle des blogueurs. Pour tout te dire, je ne pensais pas accorder autant de temps à mon blog, je m’imaginais être une sorte de «passager clandestin» qui viendrait incognito, quand il le pourrait. Mais au fil de mes articles, et des retours, au fil des lectures des autres blogs, j’ai senti que j’aurais du mal à quitter cet espace. Il m’est devenu presque vital.
Et puis, il y a cette impression que seul(e)s celles et ceux qui tiennent un blog peuvent comprendre nos joies, et nos tourments. Même s’il m’a fallu énormément de temps pour que je puisse accepter le fait d’être «blogueuse», je suis ravie de faire partie de cette team, et j’aimerais en 2019 nouer davantage de contacts dans la blogosphère.
Enfin, en entendant quelqu’un parler de son blog, on prête une oreille attentive et on pense intérieurement : « ah génial, lui aussi il écrit ». Cela crée tout de suite un point commun.
2. Les rencontres
En fait, les écrits disent beaucoup d’une personne. « On écrit toujours avec de soi » disait Roland Barthes. Et en lisant les autres blogs, on s’imagine derrière quel genre de personnes se cache derrière l’écran. Il y a aussi ce plaisir de savoir que d’autres blogueurs suivent avec intérêt tes pérégrinations scripturales, et cette joie de nouer des amitiés «bloguesques». J’arrive même à souhaiter en lisant les articles d’autres personnes : « j’aimerais tellement qu’elle s’en sorte », «il doit être hyper intéressant dans la vraie vie ». Bref, quand on écrit c’est aussi un peu pour se faire lire, et pour échanger.
3. L’ouverture d’esprit
Si j’aime autant écrire ici c’est parce que je suis aussi une abonnée d’autres blogs. Et pour peu que tu sois abonné à d’autres espaces, parfois aux antipodes de tes passions premières, et bien tu élargis ton champ de connaissances, de perspectives. Tu tombes ainsi sur de merveilleux articles qui parfois, renversent tes schémas de pensée, ou tes certitudes les plus profondes.
C’est aussi pour cela que j’aime les gens qui lisent, ou qui écrivent (en général, les deux vont ensemble) : je leur trouve une largesse et une fécondité d’esprit, des plus agréables.
4. Les magnifiques commentaires
Qu’on se le dise, on écrit pour soi, et on écrit pour être lu. Alors, lorsque te parviennent les premiers commentaires, les premiers retours positifs : ton ego est alors à satiété. Tu te dis que ces belles personnes ont, non seulement pris le temps de lire, d’apprécier, mais aussi de laisser leur marque. Je ne sais pas toi mais j’aime à imaginer que ce sont des personnes engagées. Sans compter, l’effet motivant que cela te procure. Mais, je pense qu’il ne faut pas en être prisonnier. De la même façon que la course aux likes peut s’avérer vaine, nous ne bloguons pas pour les commentaires.

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5. Le recul sur sa propre vie
En écrivant, on prend le temps de choisir le mot adéquat, et c’est autant de temps pour la prise de recul. Sans compter que partager un article fait réagir des personnes au parcours, aux perceptions, aux envies différentes, ce qui fait que l’échange est enrichissant, et permet le recul sur sa propre situation. Je me souviens de l’article que j’ai rédigé sur mon côté Zèbre ou dans le fond en l’écrivant, je voyais ce trait comme étant un inconvénient. Quelques jours plus tard, et au vu des retours, j’ai pu enfin me dire que je tenais là une qualité. Même si on a nos défauts de nos qualités, ou les qualités de nos défauts.
6. Le sentiment d’utilité
Je me souviens de mon tout premier article. Il s’agissait d’un bref billet d’humeur sur les sans-abris. En l’écrivant, je m’étais dit : « et si, le temps de ces lignes, je me faisais la voix de ceux qui n’ont en pas, et si j’étais l’avocate de ces pauvres personnes ».
En fait, en écrivant, en conseillant, en partageant mes perceptions, j’ai l’impression d’être investie d’une mission (certes à mon humble niveau), j’ai le sentiment de distiller quelque chose de positif, d’envoyer des bonnes vibrations. Et quand je suis sollicitée par email pour des problématiques personnelles et que l’on me demande mon avis : mon sentiment d’utilité atteint son paroxysme.
7. La joie d’être soi-même
Quand j’ai commencé cette belle aventure, et que je lisais des blogs professionnels, à forte audience, à référencement maximal, et aux articles à base de « comment faire pour » : j’ai eu l’impression qu’ils étaient un peu sans vie, sans âme. Je lisais aussi beaucoup de conseils sur « comment bloguer », mais sans en appliquer les lectures car je voulais que les choses se fassent naturellement, et dans la fluidité. Et j’ai toujours été méfiante de ce genre de recettes. Bref, avec le temps, je me suis rendu compte qu’il y avait autant de façons de bloguer, que de blogueurs. Et cette activité n’étant pas une science exacte : la meilleure façon de tenir un blog est celle qui vient de nous-même.
8. Une créativité décuplée
Nous vivons une époque où si l’on ne ravive pas notre créativité au quotidien, on peut vite se retrouver morne et blasée, enfermée dans la routine du quotidien et dans la consommation de contenus. Ce que je trouve merveilleux dans le blogging c’est que nous sommes acteur : on crée du contenu, on laisse ainsi la part belle à ce qui nous fait vibrer. On choisit les images, les photos, la mise en page, les templates. On lit dans l’optique éventuelle d’en parler sur le blog. On rajoute de la vie, à la vie. Personnellement, c’est dans ces moments de créativité que je suis la plus heureuse. Rien ne remplacera le plaisir de poster un article, de prendre une photo, de peindre une toile, d’écouter un morceau.

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9. La fabuleuse démarche de développement personnel
En bloguant, tu repousses tes limites, et tu tais tes peurs. Je me souviens qu’au début, je me disais : « mais avec tout ce que j’ai écrit, tout le monde saura que c’est moi ». Ou lorsque je croisais des collègues, j’avais l’impression qu’ils m’avaient peut-être lu, ou qu’ils avaient entendu parler de mon blog. En soi, je ne vois pas où est la gêne. C’est juste qu’en écrivant, on offre des facettes de nous qu’on ne laisserait pas foncièrement voir de prime abord.
Aussi, tenir un blog nécessite une organisation. Ecrire, relire, commenter, ou répondre aux commentaires nécessitent du temps : et c’est autant de temps en moins pour la procrastination.
10. L’exercice de profondeur
En écrivant, on offre de la place à la profondeur. Certes, un blog c’est aussi beaucoup de forme, mais je reste convaincue que ce qui fait le charme d’un blog est justement le charme de son propos.
Nous vivons tellement une époque de surreprésentation du Moi, une ère d’apparences, que revenir à des choses plus profondes est appréciable. Tenir un blog c’est aussi faire cette expérience du « Plus grand que soi », c’est se sensibiliser aux problématiques profondes.
Est-ce que mes joies sont tiennes ? Ressens-tu d’autres joies en bloguant ?


A bientôt,
Sana,

Tous droits réservés.

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Renouer avec son enfant intérieur

Chère Sana,

C’est avec émotion que je te fais part de cette lettre qui j’espère te trouvera heureuse et épanouie. Je suis vraiment fière de la femme que tu es devenue. Je vois combien tu as arpenté les chemins tumultueux de la vie avec bravoure, résilience, et humilité. Je te vois transformer en or beaucoup de choses, et toucher le cœur de toutes celles et ceux qui ont le bonheur de te croiser. Je te vois cramponnée à tes rêves, à des idéaux, et je sais que tu n’y renonceras jamais.

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Chronique 15 : « Soul Dating », de Malory Malmasson, aux éditions Massot

Hey,

J’espère que tu vas bien. Je reviens aujourd’hui avec une chronique relative à un merveilleux ouvrage de Malory Malmasson. En effet, toujours dans les thèmes autour du développement personnel, de la spiritualité, j’avais besoin d’un bouquin subtil, profond, mais surtout pratique. Et je suis tombée sur cette pépite qu’est « Soul dating ». Lire la suite

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Viendra un temps où…

Viendra un temps où tu danseras, où tu marcheras comme sur des ressorts, où tu sautilleras à cloche pieds car tu seras sur le point de rompre avec toi-même, ou plutôt de t’épouser, de te jeter dans pleins de nouveautés, d’explorer ces chemins que tu avais jusque-là estimés «sans issues». Tu seras alors emporté dans un tourbillon de belles énergies. Tu provoqueras le destin. Tu tenteras. Tu solliciteras. Tu proposeras. Tu travailleras. Et tu n’attendras plus. Tu n’attendras rien de personne. Tu sauras que tu as jeté tes petits cailloux. Tu auras accroché tes hameçons, en étant sûr que cela mordra. Tu seras sûr qu’après avoir planté toute ces graines, viendra le temps de la moisson. C’est alors que les plus belles choses de la vie t’arriveront. C’est alors que tu rencontreras de belles personnes dont tu ne soupçonnais plus l’existence, celles et ceux que tu n’espérais plus. Lire la suite

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Chronique 14 : « Ecoute ton corps », de Lise Bourbeau

Bonjour !

Avant toute chose, en ce premier jour de l’année, permettez-moi de faire honneur à la charmante coutume des meilleurs vœux. Je vous souhaite sincèrement le meilleur. Que cette année vous soit heureuse. Que la paix, le repos et la santé vous tiennent lieu de fortune. Mes meilleurs vœux vous souhaitant, en ce jour de nouvel bonheur, amour, santé : que ces mots soient exaucés. Je terminerais par une belle citation de Madame de Sévigné : « Que cette nouvelle année vous soit heureuse, que vos jours soient filés de soie ».

J’espère que vous allez bien. Je reviens donc aujourd’hui avec une chronique relative à un merveilleux ouvrage de Lise Bourbeau. En effet, pour bien commencer l’année, rien de mieux qu’un ouvrage riche en enseignements pour l’harmonie au quotidien. Lire la suite

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Chronique 13 : « Vous êtes le m’Etre du jeu », de Lise Bourbeau

Une de mes amies a un très petit livre de citations qu’elle consulte de temps à autre pour lire une phrase positive. La dernière fois, après avoir fermé les yeux et ouvert son petit livre sur une page qu’elle pensait être issue du hasard, elle s’est tourné vers moi puis m’a dit :

« Sana, c’est fou, quelle coïncidence ! C’est exactement la réponse à ce que je vis en ce moment ». J’ai souri. Car, je sais qu’il n’y a pas tellement de hasard dans la vie. Lire la suite

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Comment résister à l’enlisement ?

Je suis assise à une terrasse de café souhaitant profiter des rayons de soleil face aux montagnes, mais les discussions de mes voisins de table vont bon train autour de la fin d’année mouvementée que nous connaissons actuellement. Ils racontent ce qu’ils ont vu à la télé, et surenchérissent, vidéos à l’appui, dans les descriptions de scènes de violence. Je crois que j’ai mal choisi mon lieu de pause. J’essaie de faire abstraction du sentiment négatif qui est train de m’envahir mais c’est peine perdue. Je repense alors au divorce consommé entre les médias et moi.

BFM, Europe 1, TF1..et les autres. Cela fait plusieurs années que j’ai banni les JT et autres de mon quotidien, et je ne peux que me féliciter de cette décision. Les mots que l’on entend, les images que l’on voit ont un impact sur nos vibrations, sur notre bien-être.

Et il faut dire qu’ouvrir un JT, ou faire une «Une» avec comme titre : « Le monde va magnifiquement bien » n’est ni réaliste, ni vendeur. D’autant, que comme disait Coluche : « On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde ».

Il n’y a qu’à prêter l’oreille pour comprendre que tous les observateurs du monde nous prédisent le pire pour 2019. De certaines vidéos YouTube jusqu’à la couverture 2019 de The Economist, tous démontrent que le monde souhaité par les élites dirigeantes va connaitre une précipitation vers le chaos général.

Il ne s’agit pas de nier les dures réalités économiques, climatiques, sociales, territoriales que connait notre monde d’aujourd’hui. Il ne s’agit pas de nier la grande crise que nous traversons. Mais il est question de se préserver de l’enlisement général, de tout sentiment de haine et de frustration, de toute tentation de repli sur soi.

Même les plus grands optimistes de mon entourage me disent : « c’est foutu », « heureusement que je n’ai pas d’enfants », « ça part en vrille », « ils vont tout détruire », « il me reste à trouver une ferme à m’y réfugier », «  il parait qu’on pourra même pas retirer notre épargne », « et dire que je voulais faire le tour du monde en 2019 »..

A qui profite le crime ?

Il est vrai qu’à y regarder de près, beaucoup aimerait voir dissous les sentiments de paix, et de respect. Beaucoup ont plutôt intérêt à créer des dissensions et à pointer du doigt les coupables. Beaucoup s’attache à montrer ce qui nous différencie, plutôt ce qui nous unit. Beaucoup rêve de dislocation plutôt que d’Unité. Certains se sont jetés, corps et âmes, dans des stratégies de manipulation pour préserver pouvoirs et hégémonie. Vous n’aurez pas gain de moi. Vous n’aurez pas gain de mon optimisme.

Continuer de rêver

Je veux dire à celles et ceux qui sont dépités, de ne pas céder à la résignation. Continuez d’œuvrer en faveur de vos rêves, de vos projets. Ne renoncez surtout pas.

Soyez libres de vos jugements, sortez des sentiers battus de l’opinion publique, analysez, décortiquez et créez-vous votre propre avis.

Je veux ici dire, haut et fort, que le pouvoir de la résistance à l’enlisement est infini.

Face au machiavélisme de certains, le sursaut humanitaire sera plus fort.

Un autre dessein nous sera possible.

Préservez-vous. Préservez-vos pensées.

Je vous souhaite de résister à l’enlisement général.

Je vous souhaite de préserver votre discernement.

Je vous souhaite de continuer à croire à des lendemains ensoleillés.

Sana,

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Poser une intention

Peut-être qu’il faut juste à un moment donné cesser de trop penser. Et ce n’est pas même pas un « peut-être » d’ailleurs, c’est une certitude. L’action. Avancer. Foncer. Nous n’aurons pas 10 vies comme dans certains jeux vidéo. Une fois que tu as cette intuition, fut elle minime, lance toi, essaies et tu verras bien. Je préfère tester que de me torturer avec des peurs, ou des regrets. Je n’ai plus le temps (Le moment parfait). Je n’ai plus le temps car il y a urgence à vivre.

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Chronique 10 : Le placebo, c’est vous, Joe Dispenza, aux éditions Ariane

Saviez-vous que notre cerveau est constitué à 75% d’eau ? Saviez-vous que notre cerveau a la consistance d’un œuf à la coque ?

Notre cerveau est un incroyable organe qui contient plus de 100 milliards de cellules nerveuses (neurones). Et le nombre de connexion de cellules nerveuses peut varier de 1000 à 100 000, en fonction de la zone du cerveau où la cellule est située. Lire la suite

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La promesse de l’Aube

Bonjour,

Je n’allais tout de même pas te laisser sans ce petit quelque chose de fin de semaine…

Aube

J’ai contemplé le soleil pendant qu’il se couchait,

J’ai aperçu, sur la pointe des pieds, le jour, glisser

J’ai vu l’éclat de la lune se refléter sur nos visages,

Et nous, admirant le rivage,

J’ai vu l’éclat des étoiles se refléter dans nos yeux,

J’ai souhaité que ce moment dure durant l’éternité, tel un vœu pieux,

J’ai vu l’éclat de nos sourires sur les petites et douces vagues de l’océan endormi,

Et jamais, je n’ai autant ri,

J’ai saisi la volupté de l’instant,

J’ai vu la magie de nos êtres, se révélant,

J’ai ressenti l’apaisement du moment présent,

Comme si d’or était fait ce moment,

J’ai perçu la quiétude de nos battements de cœur,

J’ai ressenti l’ivresse tel le soprano du Chœur,

J’ai ressenti l’extase,

Eloignant à tout jamais tout sentiment de blase,

J’ai souhaité vivre et revivre ce moment,

Et, j’ai insufflé cette promesse en regardant la lune,

J’ai senti nos êtres communier tel l’alchimiste sur la dune,

J’ai vu l’aurore apparaitre,

Scellant à tout jamais le destin de nos êtres,

Sana,

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Ces êtres lumineux

Fascinée. Oui j’ai toujours été fascinée par les êtres lumineux. Tu sais, celles et ceux que tu remarques à peine mais qui ont une aura splendide, des yeux dont l’éclat laissent entrevoir la lueur de leur âme. Leurs bonnes manières, leur éclats de rire, leur douceur, leur gentillesse, leur dynamisme. Leur calme olympien. Ils sont dans la pleine conscience, constamment. Leur manière de se mouvoir. Gracieuse. De se sustenter : toujours en prenant le temps et en savourant chaque bouchée.

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When you heal…

Se trouver Soi

Je crois que tu m’as manqué. Et… Tu sais ce que l’on dit.. On revient toujours à ses amours initiales. J’espère que tu vas bien.

C’est avec une émotion particulière que je prends la plume pour t’écrire ces quelques mots.

L’émotion qui me traverse est celle de quelqu’un qui vient de mettre le doigt sur une vérité, somme toute, déconcertante et éclatante. Celle de quelqu’un qui vient d’ajouter la dernière pièce du puzzle.

C’est comme si, soudainement tout prenait son sens. Je sais à présent que ce que je recherchais était devant moi, ces années durant. Je cherchais ma propre personne. En l’acceptant pleinement, en l’accueillant, je lui offre enfin la possibilité d’être elle-même, sans jugements.

Des années durant, j’ai eu des difficultés à accepter tout ce que je suis : cette fraîcheur, cette intensité émotionnelle que j’amène dans toutes mes interactions, cette empathie débordante, et cette loyauté sans bornes.

J’ai comme chercher à gommer mes insécurités, et ambivalences alors que celles ci font intrinsèquement partie de moi. J’ai parfois, maudit ma profondeur, ma sélectivité supérieure à la normale, mon besoin de sens.

Et cette négation de moi même ne pouvait qu’exacerber mon sentiment d’inadéquation au monde.

Le pouvoir de l’acceptation est incroyable. Je me/le/la rencontre au moment même où j’honore et je célèbre pleinement ma personne, mon hypersensibilité.

Je sais que je suis une partenaire de vie incroyable, je sais que mon radar émotionnel est un cadeau.

Je suis fière d’être si compatissante, si consciente des sentiments de l’autre. Je suis ravie de tout ressentir, de voir le meilleur chez les autres, de posséder cette lucidité extrême.

J’accepte pleinement mon amour du sens, de la beauté. Je suis consciente d’enrichir la vie des autres, d’y apporter des couleurs, de l’intensité.

J’accueille, j’accepte pleinement d’être si loyale, si dynamique, si empathique, si mystérieuse.

J’accepte d’avoir tant besoin de temps avec moi même. Et je sais que c’est un formidable atout de tout ressentir de manière si décuplée.

Quel bonheur de savoir mettre des mots sur tout. De ressentir l’autre dans ses tréfonds. Quelle joie de travailler sur soi-même, de réfléchir autant. Et en travaillant sur moi même, je sais que je travaille sur la relation.

C’est magnifique d’avoir cette conscience aiguë du « Je », « Tu », « Nous ». C’est magnifique de savoir réfléchir à toutes les dimensions de tout, tout le temps.

Dès que je sens une once de désagrément, je sais le verbaliser, l’analyser même s’il est sous jacent.

Je savoure celle que je suis. Je savoure ce don subtile de tout ressentir. J’aime voir le meilleur, partout.

Le pouvoir des énergies ⚡ est infini et il n’y a meilleure vibration que celle de l’acceptation.

Prend soin de toi.

S.

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Les habitudes du succès

Les concepts à intégrer pour pouvoir développer réellement les habitudes du succès sont :

– le Contrôle : vous êtes responsable de votre vie. Votre situation n’est pas déterminée par des facteurs extérieurs. Ces facteurs sont des opportunités ou des obstacles et ce que vous en faites relève de votre responsabilité.

– la Conviction : il ne vous sera jamais possible d’accomplir plus que ce que vous pensez possible d’accomplir. Si vous limitez vos aspirations, vous limitez votre potentiel d’accomplissement.

– l’Anticipation. La situation dans laquelle vous atteignez votre objectif doit être perçue comme une réalité en passe de se produire. L’avez vous déjà remarqué ? Les gens heureux s’attendent toujours à être heureux.

– l’Attraction : elle est le résultat de votre conditionnement. Les personnes positives, confiantes, attirent invariablement les situations, opportunités positives. Elles semblent toujours s’en sortir mieux que les autres.

Ces quatre mouvements se nourrissent les uns des autres et sont bel et bien le fruit d’habitudes qu’il est tout à fait possible d’acquérir.

Actions concrètes :

– Listez vos difficultés actuelles et pour chacune associez-y votre responsabilité dans la situation et non un facteur extérieur.

– Listez les limitations (personnelles ou conjoncturelles) que vous imaginez insurmontables.

– Listez les actions que vous entreprendriez si vous étiez certain de leur réussite.

– Identifiez les évènements négatifs qui ont correspondu dans votre vie à ce à quoi vous vous attendiez et comprenez qu’il en irait de même pour des prévisions positives.

– Identifiez et notez trois pensées négatives récurrentes et définissez une phrase de remplacement pour chacune.

Vous êtes maître de votre propre conditionnement.

La reprogrammation va devoir cibler :

– les Valeurs.
– la Perception de soi-même.
– l’amour-propre.

Une fois ces éléments identifiés et évalués, il sera primordial d’appliquer les 4 lois mentales permettant de conditionner son état d’esprit :

– loi de la répétition (tout ce que je répète : acte, parole ou pensée, devient une habitude).

– loi de l’émotion (ce que je fais, dis ou pense, impacte positivement ou négativement mes émotions), il faut donc que mes actes, paroles et pensées soient positifs.

– loi de la concentration (si je réfléchis chaque acte, parole ou pensée, je les contrôle réellement et ils deviennent une habitude).

– loi de l’inconscient (ma maîtrise de la répétition, de l’émotion et de la concentration ancre l’acte, parole ou pensée devenus habitudes dans mon inconscient, influençant l’ensemble de mes autres actes, paroles ou pensées).

L’habitude mon ami, est la pratique si longuement appliquée qu’elle en devient l’homme lui-même.

By Sana.

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La file d’attente

Notre esprit renferme beaucoup plus que nous ne pouvons le soupçonner.

Il se passe beaucoup plus de choses autour de nous que notre curiosité n’est capable de suivre. Seul, ce sens croissant de curiosité nous permet de capter l’enthousiasme qui rend valable, amusante et intéressante la plus banale ou la plus fascinante des tâches.

Sans cela, la vie n’est rien d’autre qu’une file d’attente. Vous pouvez maîtriser l’art de taper du pied pendant que vous faites la queue ou vous pouvez faire beaucoup plus.

J’ai découvert que la vie éternelle commence par une longue file d’attente.

Vous feriez mieux de vous amuser 🎉un peu des à présent, parce que ceux qui profitent de l’existence et font les choses qui en valent la peine avec une grande curiosité parviennent à attendre dans des files moins longues que ceux qui ont seulement développé une aptitude à faire la queue.

By Sana.

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