Elle m’a dit :
« Sana, je suis encore en vacances mais je t’assure que je ne peux pas m’empêcher de penser à la rentrée. Je n’arrive pas à profiter. Je suis sur mon transat et j’angoisse déjà ».
Cela m’a fait penser à ce que j’ai entendu au mariage de Kévin et Stéphanie, il y a quelques semaines :
« Espérons que ça va durer. Quand on sait qu’un mariage sur deux se termine en divorce, ça peut laisser pantois ».
J’ai aussi repensé à Damien qui vient de lancer son business, il y a quelques semaines et à qui on a dit :
« Tu sais 2020, ce n’est vraiment pas la bonne année pour se lancer. Ne t’attend pas à faire fortune, la plupart des nouvelles boites ne survivent pas à leurs deux premières années d’existence ».
Et je me suis rappelé combien Audrey était sceptique sur sa rencontre de la veille :
« Sana, je sais comment ça va finir ».
Je me suis demandé si nous étions tous devenus des rabats joies. Pourquoi n’arrive ton pas à nous réjouir ? Pourquoi avons-nous tant de mal à nous saisir du précieux instant présent ? Est-ce que cette année, si particulière, nous bouscule tellement énergétiquement qu’elle nous rend circonspect à l’égard de toute forme de réjouissance ? Toute source de bonheur doit-elle être tarie ? Allons-nous commencer à craindre le soleil, le jour, la vie parce que tous trois, sont respectivement annonciateurs de la pluie, de la nuit, de la mort ?
Sana,
Tous droits réservés.
Wonderful and beautiful image and post.
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Thank you so much Aruna. I wish you all the best.
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You are most welcome🌷
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C’est une très bonne question, peut-être que nous nous en posons trop justement?
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Sûrement Sandee….
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Peut-être aussi que nous ne nous la posons pas suffisamment ?
En toute chose il nous faut trouver un équilibre pouvant nous mener à une vie harmonieux.
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En toute chose, il nous faut trouver son juste milieu.. Excellente journée
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« Ingeta »
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