Chronique 3 : Des larmes au succès, de Marianne WILLIAMSON

Ta-dam ! Troisième livre déjà. Je ne sais pas si je peux parler de synchronicité, mais je dois dire qu’à plusieurs reprises je suis tombée en surfant sur YouTube, ou sur Amazon sur des propositions de vidéos, puis d’ouvrages de Marianne WILLIAMSON. Ce nom me semblait familier. Mais sans réelle certitude. Mais, en tapant son nom dans Google , je découvre que les mots suivants (relatifs à notre peur la plus profonde) sont les siens. C’est alors que naquit en moi la conviction d’avoir découvert une auteure inspirante.

Voici ses mots :

« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur.
Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.
C’est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus.

Nous nous posons la question…
Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?

En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ? Vous êtes un enfant de Dieu.
Vous restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde.
L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes tous appelés à briller, comme les enfants le font.

Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous.
Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre puissance libère automatiquement les autres. »

Il me fallait donc me procurer son dernier ouvrage : « Des larmes au succès » aux éditions Eyrolles, pour satisfaire ma curiosité. Et une fois dans les mains, un sentiment d’excitation s’empara de moi. Une très belle couverture dorée. De jolis rayons. Et un petit mot du grand Deepak Chopra. J’étais plus qu’emballée. La magie avait opéré !

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Voici le résumé du livre :

« Nous rencontrons tous la souffrance au cours de notre vie. Ce problème n’est pas nouveau, ce qui est nouveau c’est notre incapacité à y répondre.
Pourquoi tant de gens souffrent-ils de dépression ? Comment sortir du mal-être, du désespoir, de la peur, de la souffrance qui limite nos vies 

Ce livre offre une réflexion spirituelle sur la souffrance humaine en abordant à la fois ses causes et sa transcendance. La spiritualité n’est pas une lecture évidente et psychologiquement simpliste du monde. Elle est, au contraire, la compréhension la plus profonde du fonctionnement de l’esprit qui filtre chacune de nos expériences.

La spiritualité reconnaît l’extraordinaire profondeur de notre désir le plus fondamental – l’amour – et notre incommensurable douleur lorsqu’il est absent.
Le monde vit une épidémie de dépression et une multitude de solutions s’offrent à nous pour en venir à bout. Comme il existe des remèdes naturels aux maladies du corps, il existe des remèdes naturels aux maladies de l’esprit.

Les miracles apparaissent au moment où nous choisissons d’apprendre de nos difficultés. C’est la seule façon de passer des larmes au succès et notre seule chance de devenir des êtres plus profonds, plus sages et plus heureux. »

Spiritualité. Amour. Sagesse. Bonheur. La promesse était intéressante. A présent : quelques mots sur cette rayonnante auteure.

À propos de l’auteur

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Marianne WILLIAMSON

Marianne WILLIAMSON est une grande écrivaine, intellectuelle renommée, activiste pour la paix et contre la faim. Née en 1952 à Houston, elle est une conférencière très engagée dans une vision optimiste et non matérialiste du monde, auteur de best-sellers (dont quatre ont été New York Times n°1 Bestseller), elle a fondée, entres autres, une sorte de restaurant du cœur à Houston au Texas, a été nommée en 2006 par Newsweek parmi les 50 plus influentes personnes appartenant au Baby Boom et mentionnée dans le Times Magazine comme un recours pour les personnes à la recherche d’une spiritualité non strictement attachée au christianisme. Elle a été invitée aux émissions d’Oprah, Larry King Live, Good Morning America, Charlie Rose et Politically Incorrect. Et, préside l’Alliance pour la paix, un réseau international pacifiste.

Mon résumé

  1. La splendide philosophie de l’ouvrage

Marianne WILLIAMSON signe un magnifique ouvrage qui vise à libérer notre souffrance, et ce quelle qu’elle soit. En effet, en changeant nos filtres mentaux, en quittant l’illusion, nous atteignons la vérité, et la sagesse. Car nous aspirons tous au bonheur et à l’amour mais la douleur surgit : une relation, un emploi, une circonstance particulière. Et l’une des clés pour y faire face est avant tout mentale. Sans renoncer à la douleur émotionnelle, parce que la souffrance est inhérente à la condition humaine, Marianne WILLIAMSON nous invite à nous débarrasser de la peur, et de la force de l’égo en modifiant nos prismes.

Elle nous invite humblement à laisser rentrer la tristesse, à opter pour la chaleur humaine, par la prière, la méditation, le pardon, l’apprentissage des bases d’une vision spirituelle du monde et des principes mentaux, émotionnels et comportementaux qu’ils impliquent. C’est la clé pour reprendre possession de la paix intérieure.

Oui, soyez sans craintes, j’entends votre question ? « Sana, c’est bien beau ces messages de sagesse, mais il y a t’il une connotation pratique dans ce bouquin ? ». Oui absolument. Et quelle est t’elle ?

2. Les actions concrètes à expérimenter

A la lumière de quelques références bouddhistes, et monothéistes notamment, Marianne nous offre des clés de compréhension, et de changements :

  • l’intention juste : loin de la tentation de l’ego de multiplier les possessions matérielles, l’auteur nous incite à développer des vibrations infiniment plus élevées, à savoir que seul l’amour prévaut sur tout ce qui vit,
  • la parole juste : chaque mot que nous émettons a un effet subtil sur nous-mêmes et nul besoin d’être devin pour se rendre compte que la façon dont nous parlons impacte nos pensées, donc nos habitudes, qui elles mêmes fondent notre caractère, et notre destin. L’usage judicieux de la parole est de mise car la parole est un outil puissant notamment dans la transformation de la souffrance,
  • l’action juste : au lieu de chercher à satisfaire à tout prix nos propres besoins, nos motivations devraient être plus élevées, car chaque action produit un effet, et tout ce que nous faisons à autrui, nous le faisons à nous-mêmes,
  • le moyen d’existence juste : « faire des choix de carrière éthiques – ne pas gagner sa vie au détriment du monde vivant car c’est une entrave à l’illumination » nous dit l’auteure ;
  • l’effort juste : ce peut-être pardonner à quelqu’un comme se lever chaque matin malgré que nous croulons sous le poids de la souffrance,
  • la conscience juste : la pleine conscience, l’alignement mental, c’est « adhérer à la réalité ultime au-delà des illusions de ce monde »,
  • la concentration juste : rester concentré sur le présent ;

Marianne souligne qu’il existe « différentes façons d’interpréter la source d’une dépression, sa signification et la façon adéquate de la combattre. D’un point de vue spirituel, la dépression nait d’une perception de soi-même séparée du reste de l’univers. C’est une crise de l’âme. Oui, affronter notre vie peut être un processus douloureux ; se remémorer notre enfance et réaliser le décalage avec ce qu’elle aurait dû être; vivre la trahison d’un ami ou d’un être aimé; ajuster notre attitude face à une situation et notre sentiment a posteriori, sur l’attitude que nous aurions dû adopter. Faire le deuil de la mort de quelqu’un de cher, etc.

Mais ces souffrances ne disparaissent pas en les évitant ou en les anesthésiant. Elles se transforment lorsque nous respirons à travers elles en toute conscience et abandonnons notre esprit aux miracles de la réalisation du soi et de l’illumination. »
Aussi, l’auteure nous mets en garde d’analyser ce qui nous arrive à l’aune de notre propre personne. En effet, partant du postulat que nous sommes Un, il est trés important lorsque nous sommes tristes de lutter contre la partie de notre esprit qui nous souffle que « ça ne concerne que toi ». « Rien ne concerne jamais seulement soi, car même en soi-même, il ne s’agit pas uniquement de soi. Nous faisons partie d’un tout plus grand, d’une humanité plus vaste. Tous les miracles dérivent de cette prise de conscience. L’esprit subconscient ne nous perçoit pas comme séparés les uns des autres parce que nous le sommes pas. Nous guérissons des plaies du passéen guérissant dans le présent, et nous guérissons nos coeurs blessés en nous reliant à ceux des autres.

A l’instant même où j’adhère à l’idée d’une solution et d’un monde plus vastes, ma propre guérison s’amorce. « Alors oui, prenez le temps d’être seuls pour pleurer, mais pleurez sérieusement le temps d’accrocher à vos lèvres un sourire encourageant pour ceux qui vivent des problèmes aussi graves, voire plus graves, que les vôtres. »

En portant un regard sincère sur ce qui obscurcit notre cœur, nous serons surpris par ce que nous allons y trouver. Nous verrons que nos erreurs et les imperfections de notre caractère ne sont que les mécanismes de défense de cet enfant terrifié qui vit toujours en nous.

La bienveillance envers nous-mêmes et envers les autres constitue alors une formidable clé de libération. Reconnaitre nos erreurs est un pas supplémentaire. D’ailleurs, nos faux pas peuvent faire de nous de meilleures personnes. Pardonner, encore et toujours. Car, le pardon n’est pas seulement un acte, c’est une attitude : c’est la nuance lumineuse immaculée.

Relation

A chaque instant de chaque journée qu’une personne se trouve dans la même pièce ou que nous soyons en train de penser à elle, nous devons prendre cette décision : vais-je bénir ou juger cette personne ? Etre témoin de ce que nous sommes en train de penser est une sensation étonnante. Sur les milliers de pensées que nous formulons chaque jour, la majorité concerne ce qu’une personne a fait ou pas fait.

En optant pour un cheminement spirituel, nous aspirons à une attitude aimante envers tout. Qu’il s’agisse d’une connaissance de notre milieu professionnel, ou d’un membre de notre famille, la question à se poser est :

Est-ce que je vous rencontre depuis le niveau limité de ma personnalité, ou est-ce que j’élargis notre échange par le cadeau de mon amour ?

Si je décide de représenter l’amour,

Si je refuse toute tentation de contrôler ou de juger, vous allez le ressentir.

Si au contraire, notre relation est celle souhaitée par l’égo, vous le ressentirez aussi.

La question des relations est leur intention : ( et là je me rappelle la phrase de ma mère, « les actes ne valent que par leur intention Sana »)

  • Pour l’égo : le monde lui est utile pour arriver à ses fins,
  • Pour l’esprit : nous existons pour être au service du monde.

La seule chose qui manque à chaque situation est ce que nous ne donnons pas.

Affirmations :

  • Mon rôle sur terre est d’aimer, de pardonner et de bénir,
  • Ce que je donne aux autres, je le donne à moi-même. Ce que je refuse aux autres, je le refuse à moi-même.

Attirer l’amour ?

Notre tâche n’est pas de chercher l’amour, mais de chercher en nous toutes les barrières qui l’empêchent d’arriver jusqu’à nous.

Si nous sommes ainsi obnubilés par l’amour romantique, c’est parce que nous y projetons notre croyance qu’il peut nous guérir de la souffrance causée par notre sentiment de séparation ; nous nous sentons déconnectés de Dieu, de nous-mêmes, de la Terre, des autres êtres vivants.

Marianne WILLIAMSON signe un magnifique manifeste pour la paix intérieure, le pardon.

Quelques citations tirées de l’ouvrage

« Nous ne savons rien de la souffrance qui se cache derrière l’apparente bravoure d’une personne. Mais l’attitude la plus raisonnable consiste à supposer que tous ceux que nous rencontrons ont déjà souffert au moins autant que nous. Notre conscience mortelle repose essentiellement sur un océan de souffrance, car nous devons lutter avec férocité pour survivre dans un monde qui refuse de nous voir, de nous entendre et de nous aimer comme nous avons besoin d’être vus, entendus et aimés. »

« Quand vous vous souviendrez de qui vous êtes vraiment, et du but de votre existence, vous allez à nouveau être à genoux – non pas de douleur, mais de gratitude, submergé par la bénédiction et le privilège d’avoir reçu ce grand miracle qu’est la vie qui vous a été donnée. Vous demanderez alors à Dieu de faire de vous une étoile pour briller dans les cieux les plus sombres, pour représenter son amour et exprimer Sa bonté auprès de ceux qui pleurent les mêmes larmes que vous avez pleurées jadis. »

Mon avis

En refermant ce bel ouvrage, je me suis dit que la Terre se porterait mieux si davantage de personnes comme Marianne WILLIAMSON dispensait ce message de pardon, de sagesse, d’humilité, de spiritualité. Elle s’inscrit dans la lignée des auteurs qui portent tellement en eux les convictions dont ils se font les messagers que la lecture s’en ressent véritablement, profondément. Et contrairement à celles et ceux qui affirment des vérités sans n’avoir rien vécu, l’auteure ici a connu les affres de la dépression, a côtoyé les plus grands drames d’une vie, a perdu des personnes qui lui étaient chères.. : sa résilience coule dans chaque page de son livre.

Sans nier la douleur, sans vouloir l’écourter à tout prix comme il est de coutume dans notre société contemporaine ( « tu sais, ça fait un mois maintenant, tu devrais passer à autre chose »..), Marianne démontre que de la même façon qu’il existe des remèdes naturels aux maladies du corps, il existe des remèdes naturels aux maladies de l’esprit.

Vous savez quelle impression j’ai eu à la dernière page, au dernier mot ? J’ai eu le sentiment d’avoir passé un chaleureux moment avec Marianne WILLIAMSON. Comme si, autour d’un thé, je la consultais au sujet de ma vie, de mes interrogations, de mes joies ou de mes souffrances, et qu’au-delà de son oreille attentive, et sans jugements, elle remettait tous mes questionnements en perspective pour me ramener à ce qui compte vraiment. Les bons sentiments, les belles pensées, le pardon même à ceux qui nous ont blessés. Et en la quittant, je sors allégée d’un immense fardeau, et plus convaincue que jamais d’être sur la bonne voie.

Ce n’est pas un ouvrage présomptueux qui vous exhorte à suivre une méthode miracle pour vous débarrasser de la souffrance, de la dépression, et de vos boites à mouchoirs en un temps record. Ce n’est pas non plus un discours prosélyte qui inciterait à la spiritualité, sinon point de salut.

C’est un ouvrage qui s’adresse à toute âme, en peine ou non, pour offrir une réflexion spirituelle ( et pas forcément religieuse) sur la souffrance en abordant ses causes et sa transcendance.

C’est un ouvrage qui nous aide à mettre en veilleuse l’ego qui filtre et régit chacune de nos expériences.

A très bientôt,

Sana,

Tous droits réservés.

 

17 réflexions sur “Chronique 3 : Des larmes au succès, de Marianne WILLIAMSON

    1. Merci Agathe ! Tu peux foncer les yeux fermés/ C’est un livre qui apaise, et remet tout à sa juste perspective. En somme, un livre qui permet de prendre du recul, et revoir, ou réajuster sa façon de pensée. Bel après-midi, au plaisir

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  1. Coucou Sana,
    Je t’avoue que j’ai eu plus de mal à lire ces articles que ceux que tu écris d’habitude. Dans la partie résumé, j’ai du mal à différencier ce qui est de toi, de ta reformulation ou pas, ou de l’auteur. Ton avis est plus clair, mais le ton est différent de d’habitude ?
    Bises

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    1. C’est normal. Chaque livre possède sa propre sensibilité. Et retranscrire cela fidèlement est un exercice difficile. La partie «mon résumé» est comme son nom l’indique «ma» patte. Quant au ton, c’est le même que d’habitude, c’est juste la connotation, la perception, en somme le bouquin qui est différent. Excellent bouquin au passage! A bientôt

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  2. Je suis toujours un peu sceptique sur ces livres de développement personnel qui nous invitent à nous libérer de l’emprise de notre égo.
    Le développement personnel, comme son nom l’indique, prône nécessairement une vision auto-centrée. L’objectif est généralement noble, devenir une meilleure personne, mais il n’en demeure pas moins narcissique.
    Je ne suis pas pour autant en train de critiquer la démarche. Je comprends que l’on aspire à être plus heureux mais il me semble contradictoire de dire que, pour cela, il faut mettre en veilleuse son ego !

    Bonne continuation et bon courage pour ton défi !

    Aimé par 1 personne

    1. Bonjour ! Ce n’est ni mon acception, ni ma vision du développement personnel. Qui dit personnel ne veut pas dire égocentré. Ma quête est tout autre : mieux comprendre autrui, être mieux soi même pour être mieux avec les autres. Je n’y vois là aucune considération égoïste. Et taire l’égo lorsqu’il nous pousse dans les jugements, ou les vanités n’est fondamentalement pas quelque chose de mauvais en soi. Mais, je peux comprendre que certaines personnes aient une lecture biaisée du développement personnel. En somme, le message de ce livre est aux antipodes de toute forme de narcissisme. Ce n’est là que mon humble avis.

      Aimé par 3 personnes

      1. Loin de moi l’idée de prétendre que tu serais quelqu’un d’égoïste !

        Mais je vois dans le développement personnel, une forme de responsabilisation de l’individu sur son bonheur ou sa souffrance. Il reviendrait à chacun de faire un travail sur soi-même pour maximiser son niveau de bonheur. Or, à mon sens, cela ne peut pas être dissocié de l’expérience collective. Il me semble que les interactions sociales, l’organisation de la société, ont un impact fort sur nos émotions. Dès lors, la responsabilité de notre satisfaction ou insatisfaction est collective, elle ne dépend pas que de notre propre comportement.

        Sujet, à mon sens passionnant, qui mériterait d’être creusé ! 🙂

        Aimé par 1 personne

      2. Et loin de moi l’idée d’interpréter ton propos dans le sens de l’égoïsme. Que nenni ! Je suis entièrement d’accord avec toi au sujet de l’expérience collective. D’ailleurs, plutôt que développement personnel, j’aurais bien appelé : développement collectif !! 🙂

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  3. Bonjour ou Bonsoir mon AMI ou AMIE
    Il est l’heure pour moi de te donner un bisou
    Alors sans faire de bruit pour ne pas te déranger
    Je vais traverser le chemin qui me mène à toi
    Et je le déposerai là devant ta porte
    Ce petit bisou

    Je te souhaite une excellente journée ou soirée
    Profite bien de celle qui est ton heure
    Joie pour ta journée ou de merveilleux rêves pour ta nuit
    bisous
    Bernard

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  4. Merci d’être passée sur mon blog 🙂
    Je connaissais aussi la première citation que j’avais découverte dans Wake Up! de Christine Lewicki. Et je l’avais notée dans mon carnet d’inspiration. Je l’avais trouvée tellement vraie. Quelqu’un plus haut parlait d’égocentrisme en référence au développement personnel, et moi je vois dans cette réflexion que j’ai déjà entendu plusieurs fois, une espèce de « modestie » mal comprise à mon sens. Exactement ce que dit la citation, ce n’est pas parce que j’étouffe ma lumière que les autres vont pouvoir briller, au contraire, en laissant briller ma lumière, j’irradie sur les autres et leur permets de briller en retour. C’est très français comme façon de voir les choses. Les américains nous devancent franchement là-dessus. Ils ont beaucoup de travers, mais pour ce qui est de donner ou de laisser à la personne son pouvoir d’agir, ils sont excellents.
    Je m’abonne car j’adore le type de contenu que tu proposes.

    Aimé par 1 personne

    1. Hey ! Merci beaucoup. Je suis très touchée. C’est clair que sur ce point là, nos cousins de chez l’oncle Sam ont un temps d’avance. Merci d’être passée par mon univers. A très vite. (J’ai lu le wake up aussi, et j’ai adoré. L’auteure a un parcours tellement inspirant).

      Aimé par 1 personne

      1. Absolument. J’ai eu une longue période développement personnel et j’y ai trouvé une façon d’être mieux connectée à moi pour mieux me connecter aux autres. « Charité bien agencée commence par soi-même », ce n’est pas de l’égoïsme au contraire!

        Aimé par 1 personne

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