Cerveau, je t’aime

J’ai eu une soudaine envie de t’écrire, de te partager une fois encore, mes états d’âme. J’ai eu une soudaine envie de t’impliquer dans le tourbillon positif dans lequel j’évolue depuis plusieurs mois, et encore plus depuis quelques jours.

Je crois que j’ai mis le doigt ( dans la continuité de mon article Je suis à la naissance de tout..) sur la magie de la vie. Je crois que tout ce qui compte c’est l’émerveillement. Socrate disait que la sagesse commence avec l’émerveillement. L’émerveillement de chaque instant. Le bien-être ressenti à chaque instant.emrvllment.jpg

J’ai longtemps étais obnubilée par les performances de notre cerveau. Cette incroyable machine. Ce point de naissance de toutes nos pensées, nos émotions, nos mouvements. J’en redécouvre ses pouvoirs. J’en redécouvre ses vibrations. J’en redécouvre ses connexions.

J’en deviens obsédée. Obsédée par mes pensées. Obsédée à chaque instant. A chaque fois qu’une nano-onde de négativité, de doute, pointe le bout de son atome dans mon esprit, j’essaie de la chasser par une respiration profonde de gratitude, par une image positive de moi-même, par la visualisation d’un succès proche. Ainsi, l’once de pessimisme, de doute, n’a pas le temps de faire son nid dans mon cerveau. Ainsi, la vibration négative n’a pas le temps de se connecter à une autre synapse pour transmettre sa pulsion négative.

cerveau-inro.jpgC’est le travail de chaque instant. C’est le pouvoir de l’esprit. Cela peut te sembler abstrait.

Mais, cela va sans dire que c’est un travail de longue haleine. Cela va sans dire que c’est une belle gymnastique quotidienne. Cela va sans dire que le changement débute d’abord par une décision. Puis, part une grande et profonde conviction que la vie est généreuse avec nous. Cela va sans dire qu’il faut essayer de briser les anciens circuits neuronaux, créer de nouvelles connexions, apprendre, apprendre, lire, créer, bousculer nos habitudes, se délester du poids de notre manteau de zone de confort.

Mais il y a quelque chose d’incroyable à retirer. Quelque chose d’impénétrable. Quelque chose de profond. Car je suis ce que je pense le plus souvent. J’attire ce à quoi je pense le plus souvent.

Je ne peux plus me payer le luxe d’une pensée négative.

Dans le fond, ce qui compte, c’est d’être bien, ici et maintenant. Dans le fond, ce qui compte, c’est sourire, rire, danser, visualiser le meilleur pour que le meilleur nous arrive.

Dans le fond, ce qui compte, c’est cela. Etre bien. Etre bien. Etre bien. Ici et maintenant.

Sana,

Tous droits réservés.

18 réflexions sur “Cerveau, je t’aime

  1. ludovietnam

    Bonjour, Article intéressant…Puis-je me permettre? Juste une simple conception…Sans aucune attache ni croyance…On pourrait visualiser une lutte contre ce qui est défini, qualifié de « négatif ». Certes, nous sommes bien souvent ancré dans une attitude d’identification de la pensée, elle devient si solide que nous en faisons une réalité, ou bien la réalité…MA réalité!
    Et dans la grande majorité des cas nous avons la grande habitude d’attribuer une image soi-disant négative à cette pensée (n’oublions point qu’en réalité nous ne savons pas si cette pensée est ou non négative, nous ne faisons que de la définir comme telle…) puis celle-ci, devenant négative va alors concourir à renforcer le « mal-être » qui s’imprègne en « MOI » et cela ne fait que renforcer encore plus notre identification à un « MOI » victime de la pensée négative extérieure à « MOI » et l’agressant…
    Le réflexe…
    Est donc de LUTTER contre cette pensée négative, de ne pas l’accepter et de rechercher le BIEN-ÊTRE permanent pour ne plus avoir à vivre ce que « MOI » ne veut pas vivre…

    Alors soit nous pouvons être attentifs afin d’être pleinement présent à cette identification vis à vis de la pensée que nous qualifions de négative et extérieure à « MOI »…est-elle extérieure à « MOI » d’ailleurs ?
    Mais qu’en est-il lorsque nous nous identifions à un état de BIEN-ÊTRE permanent ?
    Est-ce là raisonnablement le lâcher-prise ?
    L’acceptation pleine et entière de « ce qui est » ici et maintenant?

    Ou bien est-ce là un mécanisme engendré par « MOI » pour « MOI » afin de s’approprier un autre état que celui qu’il a défini comme n’étant pas un état à ÊTRE? Sans même être attentif au simple fait qu’il ne sait pas ce qu’il est en train d’être?
    N’est-ce point là une autre forme d’identification que de rechercher le bien-être permanent ?
    Et donc cela se pourrait-il que nous ne faisions que mettre en place une soi disant nouvelle stratégie qui en réalité n’est rien d’autre qu’un mécanisme basée sur un « MOI » usé et limité sans cesse à la recherche d’un état solide qui lui procurerait enfin ce « bien-être » tant convoité qu’il a engendré par la comparaison avec le mal-être qu’il engendre lui même???

    Sincèrement qui suis-je pour le savoir?
    Qui suis-je pour prétendre que rechercher le bien-être permanent est une voie engendrée par « MOI » pour « MOI »?
    Qui peut prétendre savoir quoi que ce soit et est-ce nécessaire de le savoir pour être?
    Est-ce nécessaire de BIEN-ÊTRE d’ailleurs ?
    Est-ce une obligation de définir tout ce que l’on vit ?
    N’est-ce pas là encore un mécanisme de « MOI » pour se sentir AVOIR une emprise sur ce qu’il vit?
    Être est-il un état à définir d’ailleurs….
    Un espace ouvert, infini sans point de repère pour AVOIR un début et une fin, construire une voie pour se sentir sur le bon chemin….
    Départ : ici et maintenant
    Arrivée : ici et maintenant
    La vérité est sans chemin

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  3. Mister Philou

    Hello Sana, ton article est très intéressant… Et la vie serait tellement plus belle si nous parvenions à être sur le qui-vive permanent pour traquer la moindre once de pensées négatives avant qu’elle ne s’empare totalement de notre être.

    Personnellement j’ai essayé, et je dois bien T’avouer que je n’ai pas pu ‘tenir le coup’ très longtemps… Ca m’épuisait… Et j’espère que ce n’est pas le cas pour d ‘autres personnes… mais je ne parvenais pas à rester 100 % connecté avec la réalité…

    Alors pour être plus longtemps connecté à une réalité positive j’utilise aussi la technique que Tu préconises; celle de la respiration; et je la joints à des moments de prières/méditations … qui me permettent de mieux prendre conscience de ce que je vis… avec une foi, un espoir (et ça se confirme) d’une vie meilleure jour après jour….

    Bref, OUI à la lutte contre les pensées négatives (du moins quand elles attaquent mon estime personnelle); et en même temps OUI à la méditation/prière du matin qui me permet d’être plus serein, plus positif dans la journée…

    Voilà, c’était juste pour Te faire part de mon expérience…

    Bises journée…

    Mister Philou

    Aimé par 1 personne

    1. Tu as tout compris Philou…En fait, ce qui compte c’est la pleine conscience. Manger en appréciant chaque bouchée. Dormir avec une tonne de gratitude en remerciant le Ciel, la Terre, l’Univers, Dieu (selon chacun) de tous les bienfaits qui nous entoure. Savoir apprécier la nature. Enlacer longuement un ar bre. Kiffer un coucher de soleil…Mettre ses Sens en Eveil..Bref. Je crois que tu as compris…Bises

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